20/12/2012

CREED

Mesdames, Messieurs, Animaux, Frères de lutte, Chats, Lions et à la rigueur, humains! La vérité révélée, enfin, dans les pages de notre blog! Oui! La vérité vraie celle, irréfutable, qui nous éclairera tous et pour toujours sur cette pratique paienne, sauvage et barbare qu'est l'art de fourrer.
Désespoir pour vous, mes chers amis de la Peta, mes chers compatriotes de la fondation Brigitte Bardot car aujourd'hui, vous n'êtes plus seuls. Non, vous n'assenerez plus d'attaques gratuites, plus d'affirmations fausses et volontairement arrangées à votre goût. L'ére de votre tyrannie de bas étage est ter-mi-née.

Nous avons tenté tant bien que mal d'instaurer un dialogue équitable et valable avec vous. Votre extremisme vous a mené à faire d'immondes comparaisons avec certains camps de la mort. J'aime autant vous dire dès maintenant que vous avancez parfois des arguments effroyables, comme faire des manteaux en peaux d'humains, ce qui je vous rassure a déja été fait. Il y a même eu des lampes, vengeance tardive des abats-jour en vessie de porc, mais ce genre de chose fut réalisé ... entre les années 1939 et 1944. Belle vengeance.
Nous disions donc qu'aujourd'hui une conversation argumentée n'est plus possible avec vous. Les défenses des professionnels de la fourrure étant minces, nous relevons le pari d'informer le monde, du moins la France, des pratiques en cours dans cet univers méconnu et ce, sans vos ignobles commentaires qui ne mènent de toute façon nulle part.
Car ce que vous défendez, chers comparses, ce sont des espèces parfaitement viables et qui n'ont nul besoin d'être défendues (il me semble qu'elles savent très bien le faire toutes seules.) En revanche, les gluants amphibiens pour lesquel vous ne faites rien, disparaissent eux par centaines tandis que les élevages assurent la perennité des renards bleus de Suède ou que les zoos dans lesquels vous répugnez à mettre les pieds sauvegardent avec acharnement les derniers tigres du Bengale, éléphants d'Asie et autres ours.

Ceci n'est qu'une introduction au blog, et nous la terminerons par une réplique de Beaumarchais qui vous aurait rétorqué, tout comme nous, "vouloir prouver que j'ai raison serait accorder que je puisse avoir tort."
Compteurs à zéro !